Le mode de vie minimaliste

mode de vie minimaliste

Une personne minimaliste est une personne capable de vivre avec peu de biens, c’est quelqu’un qui ne s’encombre pas avec des choses qu’il n’utilise pas. Cela ne signifie pas se priver de quelque chose ou être radin, mais plutôt de faire le tri entre ce qui est vraiment nécessaire au quotidien et ce qui est superflu et dont on peut se passer par logique.

A quoi sert d’être minimaliste ?

Etre minimaliste permet d’économiser beaucoup d’argent sur des choses inutiles, cela permet aussi d’être moins dépendant de la société de consommation qu’est le nôtre et cela permet aussi de profiter de la vie sans être attaché aux objets comme le sont les personnes matérialistes.

Comment devenir minimaliste ?

Pour devenir minimaliste, il faut donc être capable de faire le tri dans ses affaires et d’observer quels objets sont utilisés au quotidien et lesquels le sont à de rares occasions.

On peut toujours se débarrasser des objets encombrants, les vendre, les donner ou même les recycler.

Ensuite, on peut passer à l’étape supérieure et se demander dans quelle activité on dépense le plus d’argent : est-ce dans les loisirs ? les vêtements ? les vacances ? le loyer ? On peut se poser des questions essentielles comme : ai-je vraiment besoin de dépenser autant dans telle ou telle chose ? Cela me rend-il vraiment heureux ? Puis-je m’en passer sans avoir de regrets ?

Il y a donc des phases par lesquelles passer afin de devenir minimaliste, pour autant que ce soit un choix délibéré et non une contrainte.

Les phases successives pour devenir minimaliste

La première phase est celle de la remise en question. Afin de se débarrasser des choses que l’on possède, il existe un exercice assez facile : réduire ce que l’on possède à 100 choses, ni plus ni moins. Cela permet de réfléchir à la nécessité des objets que l’on a, de leur utilité et de leur fréquence d’utilisation.

La deuxième phase est une phase difficile, celle qu’on se pose à chaque année lorsqu’on désire mettre de l’ordre dans nos affaires, ou à chaque fois qu’on déménage et qu’on essaie de trier. On pense toujours et systématiquement à la même  chose : je garde au cas où… Du moment qu’on se dit ça, il est clair qu’on n’a pas besoin de l’objet en question et pourtant on n’arrive pas à s’en débarrasser.

Enfin, la troisième phase est celle du lâcher-prise, qui suit immédiatement la deuxième phase. Du comment qu’on se pose la question de l’utilité d’un bien, qu’on se rend compte qu’on ne l’utilise jamais ou trop rarement, il est temps de s’en séparer, même si on peut y être attaché de manière tout à fait naturelle.

Quelles conséquences du mode de vie minimaliste ?

Une fois qu’on a réussi à se débarrasser de ses affaires, on peut vraiment prendre le temps pour autre chose. On peut dépenser son argent dans des choses qui comptent plus et savoir qu’on n’a besoin de peu pour vivre.